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    mars / 2018 /

    By Dianké Mané Le ministre de la Culture a remis officiellement, ce jeudi, un chèque de 100 millions du président de la République aux acteurs culturels. Cette initiative du président de la République s’inscrit dans le cadre du soutien de la Mutuelle nationale de santé des acteurs culturels. Et il revenait au ministre de la Culture, Abdoulatif Coulibaly, de remettre le chèque de 100 millions à Babacar Diouf, président de la Mutuelle nationale de santé des acteurs culturels du Sénégal. Une cérémonie qui s’est déroulée au Grand Théâtre.  » La remise de ce chèque d’un montant global de 100 millions relève de la ferme volonté du gouvernement et du Président Macky Sall, pour assurer la protection sociale des acteurs culturels. Cette assurance ne sera fiable que par l’engagement et la mobilisation des concernés. Et cela ne peut être traduit que par l’inscription et la cotisation massive des membres » , a souligné le ministre. Une remise qui intervient au lendemain de la journée mondiale du théâtre célébrée ce mardi 27 mars 2018. Voici en image, la remise officielle du chèque ce matin au Grand Théâtre par le ministre de la Culture.Grand Théâtre: remise de chèque pour soutenir la mutuelle nationale de santé des acteurs culturels Publié par Senego.com sur jeudi 29 mars 2018L’article Remise officielle du chèque de 100 millions du chef de l’Etat aux artistes est apparu en premier sur Senego.com – Toute l’actualité sénégalaise, toute l’actu du jour.
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    By Cheikh Kandé Des suites des licenciements de Bacary Domingo Mané et de quelques uns de ses confrères de Sud Com, le Syndicat national des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (Synpics), en conférence de presse ce matin 29 mars 2018, ont annoncé de poursuivre le groupe Sud Com, en justice pour  » licenciement abusif d’employés appartenant à leur corporation. Pour rappel, ce fut un coup très dur pour toute la presse nationale qui a relayé l’info. Le motif de son licenciement, renseigne-t-on, est lié à son  » refus de signer la feuille de présence au cours des réunions de rédaction. Devant la presse ce matin, à son siège social, le synpics après s’être indigné de ces licenciements  » qui n’ont jamais respecté toutes les procédures établies par la loi sénégalaise, a informé des nouvelles tournures que cela va prendre dans un avenir proche.  » Nous sommes dans un Etat de droit. Le licenciement fait partie des actes qui peuvent mettre fin à un contrat. Mais de toutes les manières, si cela devrait arriver que l’on sache respecter la loi qui nous régit, a indiqué Ibrahima Khalil Ndiaye, le président du synpics.  » Les patrons de presse doivent savoir raison garder et comprendre que un licenciement est une mesures extrême qui est précédée par d’autres mesures. On ne licencie pas un employé pour des légèretés. Nous sommes dans un pays fait de droit et de réglementations qui guident notre action collective et professionnelle, a ajouté Ibrahima Khalil Ndiaye.  » Nous avons engagé le combat. Ces personnes qu’on a licenciés sont des nôtres, il est donc de notre obligation de les accompagner dans leur combat pour la vérité et pour le respect du journaliste qui n’est pas n’importe qui dans ce pays a-t-il conclue après avoir rappelé que le combat juridique est déjà engagé avec des avocats chevronnés en la matière. L’article Pour licenciement  » abusif de journalistes, le Synpics porte plainte contre le groupe Sud Com est apparu en premier sur Senego.com – Toute l’actualité sénégalaise, toute l’actu du jour.
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    By Khalil Kamara 25 mars 2012 – 25 mars 2018. Voilà 6 ans que le Président Macky SALL est à la tête du Sénégal en train de dérouler le programme pour lequel il a été élu, C’est donc un prétexte idéal pour réfléchir sur les actions initiées au profit de la population. Est-on sur la bonne voie? Y a-t-il des réglages à opérer? Les politiques publiques mises en œuvre et celles en cours sont-elles bien perçues par ceux à qui elles sont destinées ? Autant de questions pertinentes dont les réponses coulent de source au vu des ruptures opérées. Avant de nous lancer sur les traces des réalisations, il est nécessaire de nous entendre sur les référentiels pour que nos appréciations aient un sens. C’est pour quoi un bref rappel du contexte dans lequel le Président Macky SALL a inauguré son magistère s’impose afin de mieux nous projeter sur ce qui a été réalisé à savoir le développement économique et inclusif du Sénégal. Arrivé au pouvoir à l’issue d’un climat de crise sociale et de désordre dans les finances publiques, de malversations et d’impunité, le président Macky SALL s’est très tôt mis à la tâche du redressement économique. En dépit de ce contexte peu favorable, le pays a connu, en six ans, un essor économique, avec un taux de croissance en hausse continue. Ces prouesses dont nous livrerons les plus frappantes sont obtenues grâce à une grande vision et une belle ambition pour un pays en développement. En matière de bien-être des populations, les performances du Sénégal ont été solides dans la santé, les inégalités économiques, ou encore les disparités de genre. Relativement à la santé et à l’action sociale, la lutte contre les inégalités et les injustices sociales est au cœur du projet politique du Président de la République, convaincu que la politique n’a de sens que si elle prend effectivement en charge la correction des disparités. C’est le fond de l’idéal républicain. En attestent les réformes lancées dans le domaine social dès le lendemain de son accession à la magistrature suprême : allocation de bourses de sécurité familiale aux ménages les plus démunis, carte d’égalité des chances en faveur des handicapés, couverture maladie universelle, revalorisation des pensions de retraite, gratuité de la césarienne, amélioration des niveaux de revenu des travailleurs, entre autres. L’enjeu est de sortir les populations du besoin en offrant à chaque Sénégalaise et Sénégalais les moyens de son autonomie grâce à son inclusion effective dans le tissu économique. Ces politiques volontaristes ont eu un impact positif certain puisque sur la période 2012-2017, le taux de pauvreté a diminué de 3 à 6%, principalement en milieu rural. Sur les 3360 milliards FCFA du budget 2017, 20% ont été alloués au social et plus encore en 2018. L’autre réussite du Président Macky Sall est sans conteste les pratiques réformatrices adossées aux politiques publiques dans la perspective de l’émergence à l’horizon 2035. C’est au vu de cette nouvelle culture que le Sénégal est classé parmi les grands pays réformateurs sectoriels, structurels et institutionnels du continent africain. Dans le cadre du secteur de l’énergie, les réformes initiées par la SENELEC en termes d’organisation, de stabilisation, de sécurisation des recettes et de développement, ont permis de trouver une solution définitive au lancinant problème des coupures qu’aucun autre régime n’a pu résoudre. Ainsi, en six ans le taux de coupure actuel d’électricité de 42 heures par an est le plus bas en Afrique de l’Ouest, un critère d’amélioration de la compétitivité de l’économie nationale et d’attractivité des investissements directs étrangers. Aussi, faut-il rappeler que la récente crise électrique a coûté près de 1.5 % du PIB (AFD, 2015) et conduit au fort ralentissement de l’activité des entreprises. Mais c’est la révolution dans le secteur agricole qui aura été le chantier monumental en ce sixième anniversaire de l’accession du Président Macky SALL au pouvoir. En effet, la politique audacieuse de soutien et de diversification des filières a permis d’enregistrer une hausse de 54% par rapport à la moyenne des 5 dernières années. De plus, le Président de la république, dans son objectif de faire les acteurs du monde rural des entrepreneurs agricoles, a permis aux producteurs de percevoir une bien meilleure compensation pour le fruit de leur travail. En définitive, si le Président Macky Sall fait figure de grand favori à la prochaine élection, c’est qu’il sait compter sur son bilan, pour le moins remarquable. Malgré ce tableau plutôt reluisant, les partis d’opposition restent sceptiques. Ils affirment que les chiffres de la croissance brandis par le gouvernement ne correspondent nullement à l’économie réelle du pays. De toute façon les flots de témoignages de reconnaissance des bénéficiaires de la redistribution des fruits de la croissance contredisent le constat de l’opposition politique. Des milliers de villages, entre autres, sont sortis des ténèbres et de la zone d’incertitude grâce à une meilleure prise en charge de leurs problèmes. Certes, des ajustements dans la gestion de certains programmes gouvernementaux s’imposent et le président et son gouvernement s’y attellent vigoureusement. Le président Macky Sall, malgré sa grande ambition pour le Sénégal, ne peut pas résoudre tous les problèmes en temps réel et à l’échelle nationale. Ses prédécesseurs ne l’ont jamais réalisé et ses successeurs n’y parviendront non plus. Finalement, on fait le constat que l’essentiel qui avait été promis est réalisé en 6 ans d’exercice du pouvoir et ce au grand bonheur de la population. * Coordonnateur fédéral DSE APR CANADA L’article An 6 de la présidence de Macky Sall : Un bilan éloquent et flatteur ! Par Hady Traoré* est apparu en premier sur Senego.com – Toute l’actualité sénégalaise, toute l’actu du jour.
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    By Mangoné KA Lorsque j’ai pris connaissance de la « démission» du juge Ibrahima Hamidou Dème du Corps Judiciaire auquel il appartenait professionnellement, j’avoue avoir été bouleversé. Sa démission du Conseil Supérieur de la Magistrature pour cause de manipulations continuelles opérées par le ministre de la Justice de l’époque dans les affectations de magistrats avait recueilli mon assentiment tacite car il est des moments, dans la vie, ou un acte fort devient essentiel quand l’on veut faire bouger les choses. Par contre, là, le regard que je pose sur lui est celui d’un père car lui et mon fils sont nés la même année. Je considère son geste comme une manifestation de refus, de noblesse et de dignité que je comprends parfaitement et que je salue mais en tant que doyen je le juge disproportionné par rapport au but visé. Pas qu’il ait tort -loin de là- mais c’est à la République de faire preuve de sérénité et de maturité face à la requête d’un jeune magistrat qui rejette les pratiques inappropriées de sa hiérarchie directe. Je voudrais rappeler que parmi les principes généraux régissant toute démission, l’acceptation du destinataire figure en bonne place. Autrement dit, il n’y a pas démission tant qu’elle n’est pas acceptée or on verra, plus loin, que le destinataire lui-même est astreint à différentes obligations. Monsieur le juge Dème a démissionné à travers un écrit transmis à l’autorité compétente par voie hiérarchique. Si l’on prend en compte le rythme en usage dans le fonctionnement de l’administration judiciaire, la lettre doit se trouver encore dans les locaux de la Cour d’Appel de Dakar. L’attitude responsable du Premier Président de la Cour d’Appel à laquelle je l’invite, cordialement, consiste à y bloquer le document, à convoquer M. Dème et à engager un dialogue avec lui, s’il le faut avec le concours d’autres aînés, même sur plusieurs rencontres, afin de l’amener à retirer sa lettre de démission. Monsieur le Médiateur de la République, le ministre Alioune Badara Cissé lui aussi, doit trouver en cette situation, matière à s’impliquer car il appartient à la famille élargie de la Justice et qu’il déclare ne recevoir d’ordre de personne. Même si l’on peut imaginer que la cohabitation future de l’avocat général Dème avec ses chefs directs au sein du Parquet de la Cour d’Appel risque de se révéler problématique, des positions, ailleurs, dans la parapublic, dans l’appareil d’Etat, en ambassade ou à l’international permettrait au pays de le récupérer dans la magistrature plus tard car demain il fera jour et le Sénégal aura besoin d’un tel homme. Le pays ne peut pas avoir tant investi pour sa formation pour se résoudre à son départ, comme ça, sans rien tenter. Quant à M. le juge Dème, je lui signale que son coup a porté, l’électrochoc a secoué le pays, son objectif est atteint ; tous les magistrats sont interpellés, publiquement, dans leur conscience. Nous sommes fiers de lui mais il n’est nul besoin qu’il quitte définitivement le métier. Il n’y a point de déshonneur à revenir sur une option quand des aînés vous le demandent. En tout cas, sa  » démission » n’est pas actée pour le moment. Je lui conseille donc de fuir les interviews et autres sollicitations médiatiques. En attendant, aucun politicien- surtout quand on n’y comprend rien- n’est admissible à lui faire la leçon. Quant à l’éviction du Chef de l’Etat du Conseil Supérieur de la Magistrature, aucun homme politique respectant la Constitution ne saurait y souscrire. Le problème de l’indépendance de la Justice ne se situe pas là. La direction de l’Union des Magistrats du Sénégal est malvenue à soutenir que M. Ibrahima H. Dème a fait le choix de partir quand d’autres ont choisi de rester pour se battre en interne. Ces propos sont déplacés et hors sujet dans un contexte ou le plus facile et le plus confortable, justement, consiste à rester…spectateur. L’UMS s’installerait davantage dans son rôle en s’investissant dans la voie de la tentative de conciliation que je viens d’évoquer plus haut. Si l’on ne parvient pas à un arrangement, la lettre arrivera à la Chancellerie, entre les mains du ministre de la Justice. A son tour de tenter d’arrondir les angles puisqu’il n’est pas l’autorité qui doit donner quelque suite que ce soit à la lettre de démission. Si à ce niveau le statu quo demeure, la lettre sera transmise au Président de la République seule Autorité légale habilitée à accepter ou à refuser la démission puisque c’est lui qui a le pouvoir de nommer les Magistrats (cf.Constitution). La démission ne porte pas sur une fonction mais concerne le départ d’un Corps. Pour être opératoire la démission doit être  » régulièrement acceptée. Cela veut dire que le Président de la République doit recueillir l’avis préalable du Conseil Supérieur de la Magistrature, qu’il doit prendre un décret acceptant la démission, qu’il doit y préciser la date à partir de laquelle la démission prendra effet et qu’il doit faire publier ledit décret au Journal Officiel. Si, une seule de ces étapes ou formalités n’est pas correctement respectée l’acceptation est frappée d’irrégularité. Ce n’est qu’à l’issue de ce processus que l’on pourra dire que le juge Dème a démissionné de la Magistrature. Ce n’est pas encore le cas. Et si les fameux  » besoins du service amenaient l’Autorité à placer la date de prise d’effet.. …dans un an ? Quid si la démission est refusée ? Chacun se rend bien compte qu’on pourrait ne pas être loin de l’imbroglio. Voilà pourquoi je réitère mon conseil exposé plus haut, à moins que M. Dème parvienne à convaincre que, tout compte fait, il préfère, librement, non par simple dégoût, donner une nouvelle orientation professionnelle à sa vie. Je recommande à Monsieur le Président de la République de ne pas se scotcher à la forme de la lettre, de faire preuve de dépassement, de bien réfléchir avant d’accepter cette démission. Le Sénégal a changé et nos jeunes concitoyens ne sont plus disposés à se soumettre à tout, à n’importe quoi, à n’importe qui, n’importe comment. L’éviction de l’inspecteur des Impôts Sonko de son Corps d’origine l’a propulsé au Parlement à un niveau officiel et social supérieur à celui d’où il venait. Dieu est l’Unique Maître des destinées. L’article Le juge Dème n’a pas (encore) démissionné, Par Jean-Paul DIAS est apparu en premier sur Senego.com – Toute l’actualité sénégalaise, toute l’actu du jour.
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    By Mangoné KA Trois sénégalais ont été blessés, ce jeudi, par des Marocains? C’était lors d’affrontements à Rabat… Les Sénégalais, suite aux agressions de trois des leurs, sont sortis dans les rues pour manifester leur colère. Et le vice-consul est en route pour Rabat afin de s’enquérir de la situation, note la Rfm. Nous y reviendrons L’article Urgent: 3 sénégalais blessés par des Marocains à Rabat est apparu en premier sur Senego.com – Toute l’actualité sénégalaise, toute l’actu du jour.
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    By Abdou GUEYE Abordant le thème,  » Le bon voisinage entre religions au Sénégal, dans l’émission, cette question a taraudé les esprits:  » pourquoi le musulman peut-il épouser une chrétienne et non le contraire? Voici la réponse sans détours du prêcheur Oustaz Taib Socé. Regardez!  L’article Vidéo –  » Pourquoi un musulman peut épouser une chrétienne et non le contraire…, la réponse de Oustaz Taib Socé est apparu en premier sur Senego.com – Toute l’actualité sénégalaise, toute l’actu du jour.
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    By Couly CASSE Le Président Macky Sall va se rendre en Russie pour soutenir, l’équipe nationale de football au mondial 2018 prévu au mois de Juin. C’est El Hadji Hamidou Kassé, son ministre conseiller en charge de la communication qui donne l’information aux journalistes de l’agence de presse sénégalaise dont il était l’invité. “Le Président sera à la Coupe du Monde. A quelle étape? Je ne sais pas pas, mais il y sera inchallah! Parce que le Président est le premier supporter des Lions”, a tit M. Kassé. “En tant que premier supporter, il ne peut pas ne pas aller en Russie” a t-il ajouté. L’article Mondial 2018: Le président Macky Sall fera le déplacement en Russie est apparu en premier sur Senego.com – Toute l’actualité sénégalaise, toute l’actu du jour.
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    By Mangoné KA Des bandes armées ont opéré ce jeudi dans la commune de Nyassia, département de Ziguinchor. Un mort et deux blessés enregistrés. Un individu a été tué et deux autres grièvement blessés ce jeudi, à Bafikane, dans la commune de Nyassia. A l’origine, confirme le correspondant de la Rfm à Ziguinchor, une bandée armée a bloqué la circulation, dans la matinée, pour dépouiller des personnes à bord de véhicules et autres moyens de transport dans l’axe Oussouye-Ziguinchor. C’est sur ces entrefaites qu’un conducteur de moteur de moto-jakarta et un chauffeur de véhicule ont voulu forcer le barrage des hommes armés jusqu’aux dents. Qui ont ouvert, sans autre forme de procès, le feu sur eux. Le conducteur de moto-jakarta qui heurté un arbre dans sa course, a rendu l’âme sur le coup. Le passager de la moto et le chauffeur de véhicule, qui ont essuyé des tirs des éléments armés, ont été admis aux urgences à l’hôpital régional de Ziguinchor.
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