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    mars / 2018 /

    By Khalil Kamara » La départ de Ibrahima Dème est une véritable perte pour la justice… » , réagit Souleymane Téliko. Le président de l’Union des magistrats du Sénégal (Ums), a regretté la démission du désormais ex-substitut général à la Cour d’appel de Dakar, dans  » l’Obs. Souleymane Téliko, dans un entretien accordé à nos confrères s’est prononcé sur la démission de Ibrahima Dème. Le président de l’Ums tient quand même à préciser que l’instance qu’il dirige n’a pas été avisée et qu’ils ont été informés par voie de presse,  » en même temps que les autres » .  » Monsieur Ibrahima Dème est un magistrat sérieux, compétent et très engagé. Compte tenu de ses qualités, tant professionnelles qu’humaines, son départ est une véritable perte pour la justice. Il a fait un choix de vie en décidant de tourner la page de la justice pour en ouvrir une autre. Nous respectons ce choix à-t-il déclaré. Dans sa lettre de démission, Ibrahima Dème dénonçait la fragilité de la Justice, une justice qui, selon le démissionnaire,  » est livrée à elle-même; c’est une justice perdue et expose le pays en détresse… Interrogé sur la question, Souleymane Téliko de confier:  » Quand on est en face d’un problème d’une telle nature structurelle, on a le choix entre deux attitudes : partir ou rester en menant le combat de l’intérieur. Notre collègue Dème a choisi la première option. C’est son droit. D’autres, très nombreux, on fait le choix de rester et de mener le combat de l’intérieur. M. Dème part en laissant derrière lui une justice qui est certes confrontée à un sérieux problème d’indépendance. Mais il laisse aussi derrière lui des collègues, des frères et soeurs qui sont et resteront toujours debout et déterminés à faire bouger les lignes… »
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    By Ankou Sodjago Le procès du professeur de philosophie et chroniqueur à l’émission  » jakaarlo bi prévu hier n’a pas eu lieu. En effet, son dossier n’a pas pu être enrôlé. Selon nos confrères du quotidien Les Echos, l’affaire n’a donc pas été appelée puisque cela ne figure pas dans le rôle du juge correctionnel de la troisième chambre correctionnelle. Sur ce, le conseil des parties requérantes a fini de régulariser, le dossier sera donc évoqué le 10 avril prochain. Pour rappel, Songué Diouf est poursuivi pour apologie du viol.
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    By Diéry DIALLO Diomnasy Kamara pas d’accord avec Aliou Cissé. L’ancien attaquant des lions de la Téranga, dans un post qu’il a fait sur son compte Facebook visité par Senego, a indiqué que  » les matchs amicaux servent à amener des confirmations et non pas des doutes. Pour le consultant de Canal +, à quelques mois du mondial, le sélectionneur des lions devrait valider ses acquis.On est à deux mois de la coupe du monde et on tâtonne. Le 3-5-2 à mon avis ne sied pas à cette formation du Sénégal. On doit plutôt valider nos acquis et les perfectionner. Le Mondial va être d’un niveau très élevé on l’a vu notamment avec l’Espagne, l’Allemagne et le Brazil pour ne citer qu’eux, a-t-il expliqué dans son post Facebook, exploité par Senego.
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    By Cheikh Kandé La commune de Gassane, établie à 65 km de Linguère, a été le théâtre d’une bagarre, entre un commerçant et un professeur d’anglais. Une affaire de copine serait à l’origine de ce violent affrontement qui a failli virer au drame.  » Le cœur à ses raisons que la raison ignore. Cet adage sied bien à ce professeur d’anglais qui a perdu la raison pour une élève en classe de Première. Et comme si cela ne suffisait pas, il a eu une violente bagarre avec un commerçant, à propos de cette fille. Gravement atteint, le commerçant serait dans un état très critique à l’hôpital Matlaboul Fawzeyni de Touba où il reçoit des soins au moment où le professeur est gardé à vue à la gendarmerie. Dans cette affaire tout a commencé avec l’idylle qu’entretenait le professeur et l’élève. Le professeur d’anglais, Pape Abdoulaye Dione, et une élève du nom de Soda Top, en classe de Première au Lycée de Gassane, filaient le parfait amour. Et cela, depuis plusieurs mois. Comme l’enseignant ne parvenait pas à satisfaire tous ses soucis financiers, la fille a trouvé un autre amant qui se trouve être un commerçant répondant au nom de Boubacar Ndao, établi à Gassane. Informé de la relation amoureuse qu’entretient sa dulcinée avec un autre homme, le professeur dans une colère noire a décidé de s’enquérir de la situation. Il interpella ainsi son amante, mais cette dernière avait réfuté les accusations du professeur, décidant même de rompre définitivement avec lui. Pris de jalousie, l’enseignant a décidé de régler son compte avec son rival. C’est ainsi que le dimanche 18 mars 2018, vers minuit, l’enseignant a appelé sur le téléphone du nouvel amant de sa copine et l’a invité dans un endroit isolé pour discuter avec lui des affaires le concernant. Au lieu de rendez-vous, le professeur n’a même pas donné le temps à son rival de s’expliquer, selon Voxpop qui a relayé l’infos. Il le roua de plusieurs coups de bâtons à la nuque, jusqu’à ce que ce dernier s’évanouie. Gravement atteint, le commerçant a été évacué d’urgence au poste de santé de Gassane et faute d’infirmier, il a été transféré à l’hôpital Matlaboul Fawzeyni de Touba où il reçoit des soins intensifs. Quant au professeur d’anglais, il est gardé à vue dans les locaux de la brigade de gendarmerie de Linguère pour coups et blessures volontaires.
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    By Khalil Kamara » Le bilan de Macky Sall n’est pas très favorable… » , de l’avis de Abdoul Mbaye. Dans un entretien avec Rfi, repris par le journal  » L’As, l’ancien premier ministre est revenu sur son différend avec le président Macky Sall. Depuis Paris, le chef du parti Alliance pour la citoyenneté et le travail (Act) est aussi revenu sur le bilan du chef de l’Etat, après 6 années passées à la tête du pays. Il est resté catégorique quand au bilan du président Macky Sall:  » Pas très bon » , juge-t-il.  » Le bilan n’est pas favorable » , persiste Abdoul Mbaye qui s’explique :  » Sur le plan politique, je suis particulièrement déçu parce qu’on assiste à une montée des tensions dont le Sénégal n’a pas besoin, avec pour cause principale son fort souci de rester le plus longtemps au pouvoir. Il a d’abord montré en reniant son engagement fort qu’il avait pris à l’époque, consistant à ramener son mandat de 7 à 5 ans. Il a trouvé l’artifice pour le maintenir à 7 ans » . Il poursuit :  » Mais au-delà de cela, et dans la perspective de l’élection présidentielle qui se prépare pour 2019, je veux mettre le doigt sur le fait qu’il se soucie d’éliminer autant que faire se peut les candidats qui pourraient être susceptibles de lui poser quelques soucis ou de le battre » . D’avril 2012 à septembre 2013, 18 mois qu’il a occupé la fonction de premier ministre aux côtés de Macky Sall avant qu’ils ne se quittent.  » Cela s’est bien terminé puisqu’on s’est quitté en bons termes, tient-il à préciser. Toutefois, le président de l’Act de confier qu’au bout d’un moment, il a constaté un certain nombre de  » reniements sur les engagements forts qui avaient été pris par le président de la République » . Des  » reniements sur des concessions pétrolières qui, probablement, selon lui, est le  » le plus plus gros scandale que le Sénégal n’ait jamais vécu » . Le banquier revient sur les faits :  » Nous étions au mois de juin 2012, donc quelques mois après l’alternance, et le Conseil des ministres a adopté un décret qui permettait l’attribution d’une concession pétrolière à une société. Vérification faite après mon départ de la primature, j’ai pu constater que ce décret avait pu être signé sur la base d’un faux rapport de présentation établi par le ministre en charge des Mines et de l’Energie de l’époque. Les éléments faux avaient consisté à présenter la société comme une société bénéficiant de capacités techniques et financières en conformité avec le code pétrolier su Sénégal. Or, il n’en était rien. Et il s’agissait d’une société créée un mois avant dans un paradis fiscal. Donc, le faux avait été établi pour permettre la signature du décret. Et il faut savoir que la société qui a bénéficié de ce permis avait une filiale au Sénégal, créée par le frère du chef de l’Etat. L’attribution faite, évidemment cette société n’avait pas les capacités pour faire ce qu’il fallait et elle a rétrocédé le permis dans des conditions qui ne respectaient pas les intérêts du Sénégal puisqu’il y a eu renonciation à des droits de préemption sans aucune contrepartie. C’est extrêmement grave. Je donne le cas d’un permis, il y en a eu deux, il y en a eu trois, il y en a eu quatre » .
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    By Ankou Sodjago La sortie de Ziad Takieddine, l’un des intermédiaires dans l’affaire des financements libyens qui vient d’ailleurs d’éclabousser le numéro 2 du Quai d’Orsay n’est qu’un petit signal. Selon les radars sensibles de Libération, un déballage monstre se prépare contre les Wade et certaines de leurs amis dont Bernard Henry Levy dans le cadre de cette affaire. Pour être plus précis un grand média parisien est sur le coup. Et dites-vous bien que l’enquête de nos confrères, basée sur des témoignages inédits, risque de faire beaucoup de dégâts. Une affaire à suivre…
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    By Dianké Mané La Rencontre africaine pour la défense des droits de l’homme(Raddho) déplore l’immixtion de l’exécutif dans le pouvoir judiciaire. L’Exécutif s’immisce dans des cas dans les affaires judiciaires estime le secrétaire général par intérim de la Raddho.  » Au sein de la société civile, on a toujours déploré l’immixtion de l’exécutif dans le pouvoir judiciaire. Dans une République, il faut la séparation des trois pouvoirs.. Les dernières assises de l’union des magistrats du Sénégal qui avait formulé des recommandations allant dans le sens de reformer le Conseil supérieur de la magistrature pour y extirper la main du Président de la République et celle du Garde des Sceaux, ministre de la Justice, sont tout à fait opportunes » , a déclaré Sadikh Niass dans le journal  » Sud Quotidien.
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    By Mangoné KA Le secrétaire général et fondateur du Parti des travailleurs et du peuple (Ptp), invité mercredi de Rfm matin, a dénoncé avec véhémence, le système de parrainage proposé par le président Macky Sall en perspective de la prochaine Présidentielle. Me El Hadji Diouf qui qualifie ce passage en force de l’Exécutif de démagogie, n’a pas manqué de parler de complot ourdi contre la démocratie Sénégalaise. A l’origine, avance la robe noire avec  » des preuves, ce parrainage imposé par le camp de la majorité à ces parti télécentre remonte aux Législatives dernières qui avaient posé d’énormes problèmes organisationnels.  » Le financement de la coalition de Farba Senghor et Pape Samba Mboup, lors de ces joutes, en est une parfaite illustration parmi tant d’autres » , a-t-il soutenu Suffisant, souligne-t-il pour que Macky Sall et Cie saisissent la balle au rebond pour légitimer ce présent parrainage pour pouvoir éliminer des candidats à la Présidentielle de 2019. Poursuivant sa plaidoirie, l’avocat, qui prône le consensus en matière électorale, prédit du sang et du feu au Sénégal si toutefois l’Assemblée nationale valide ce ticket. L’ancien député député à l’Assemblée nationale est revenu aussi sur le bilan des 6 ans du président Sall, le dialogue politique, l’indépendance de la justice, la supposée victoire de Macky Sall à Présidentielle de 2019, la disparition de l’ancien maire de Dakar, Mamadou Diop. Écoutez:
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