La cellule de communication du camp de Habré est en ordre de bataille. Après s’être comportée en spectateur, le temps de l’ouverture du procès, elle est montée au créneau pour lister un chapelet de faits qui n’honorent aucunement les autorités étatiques sénégalaises encore moins les hommes politiques de ce pays. Ce pays, qui en décembre 1990 avait accordé au président Hissein Habré, l’asile politique.